Kombino Splinto

Les Inrocks – octobre 2017
» […] Ces musiciens viennent du jazz, option free, et jouent de la musique africaine comme si c’était du rock. De la musique africaine d’aujourd’hui, avec une prédilection pour le tsapiky malgache : tourneries de guitare électrique et rythmes fous, pour une forme de musique de transe très proche du meilleur rock, en effet. » Stéphane Deschamps

Djam La Revue – juillet 2017
« Après Marquises en 2015, le quartet persiste et signe un nouvel opus résolument tourné vers l’Afrique, avec Kombino Splinto. Un son plus brut, plus rock, des riffs entêtants, une batterie implacable, cet album affirme avec aplomb l’identité du groupe tourangeau. […] L’imbrication des motifs rythmiques du groupe est jubilatoire. Chaque musicien trouvant naturellement sa place dans cette construction, jouant lentement à en élargir les contours et l’harmonie, à la recherche d’un équilibre en perpétuelle évolution. Dans ces transes africaines, on retrouve le lâcher prise propre au free jazz, dans sa volonté de briser les cadres, qui s’accommode d’une précision rythmique à l’efficacité redoutable. » Xavier Leblanc


Les Inrocks – mai 2017 « Les 10 albums de jazz français qu’il faut écouter d’urgence »
« Interprètes d’une musique aux sonorités vintage où s’entremêlent motifs inlassablement répétés, rythmes tachycardes et fureurs expressives des possessions africaines, les sapeurs blancs d’Electric Vocuhila démontrent que l’esthétique peut échapper au conditionnement des origines et des territoires pour se propager d’âme en âme, par la seule magie des sons. » Louis-Julien Nicolaou 

Maxime Bobo saxophone alto & soprano (7), clavier
Boris Rosenfeld guitare
Jean-François Riffaud basse & guitare (7)
Etienne Ziemniak batterie